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26 - Trimestriel - Cyberattaques : l'état piraté • Pêches au thon : stop ou encore ? • Des ultra-cathos chez les antivax • Racisme anti-asiatique : l'autre pandémie (Bulletin de Médor)
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Titre : 26 - Trimestriel - Cyberattaques : l'état piraté • Pêches au thon : stop ou encore ? • Des ultra-cathos chez les antivax • Racisme anti-asiatique : l'autre pandémie Type de document : texte imprimé Année de publication : 2022 Importance : 126 p. Format : 23 cm Langues : Français (fre) Catégories : 0-Information - Communication Index. décimale : 050 Périodiques - Revues Résumé : Papier dévoré
Un livre par jour, en forme toujours. C’est le conseil que donne le National Geographic pour survivre au stress de la pandémie, dans un article consacré à la bibliothérapie, cet art de se soigner de notre époque anxieuse par les livres. Une mère et son enfant racontent comment les livres sont leur «?vaccin social?», un moyen d’échapper aux restrictions tout en ouvrant des perspectives dans un monde à l’horizon bouché.
C’est la meilleure nouvelle de la pandémie : on lit, on lit, on lit. Sur du vrai papier, en plus. Les enquêtes, en français, en anglais, partout, sont formelles : le monde entier, ou presque, a lu plus que d’habitude depuis janvier 2020. Et les petites librairies indépendantes cartonnent. Plus 14?% de ventes en 2021 en Belgique. Bon, ça reste moins que chez Amazon, Fnac et consorts, mais ne boudons pas notre plaisir : les ventes augmentent partout (+ 10?% de littérature, + 35?% de BD dont + 99?% de mangas) et dans un secteur de l’édition et de la distribution fragile, ce n’est pas rien.
Lors du deuxième confinement de 2020, le secteur du livre a été reconnu comme «?essentiel?» chez nous. Les librairies ont pu rester ouvertes et faire bien plus que garder la tête hors de l’eau. Mais un livre, c’est, comme le thon en conserve (l’un des ingrédients phares de notre enquêteke et de sa «?contrepêcherie?») : l’aboutissement de toute une chaîne d’approvisionnement.
Si vous lisez cet édito dans votre magazine papier, affalé dans votre fauteuil ou bercé par le ronronnement d’un wagon SNCB, si vous pouvez toucher ce papier qui a tant la cote, le tâter, le humer, vous avez de la chance. Car vous tenez en main un objet de luxe. Pas seulement pour l’incroyable exclusivité des textes qu’il contient et l’amour que nous y avons mis. Non, hélas. Mais bien parce que, le 19 janvier 2022, notre imprimeur (Bietlot) a écrit ceci à Laurence Jenard, notre fakira-directrice, décidément habituée à marcher sur des clous :
«?Nous faisons face à une pénurie de papier. Les délais sont extrêmement longs et les prix ont augmenté de 80?% par rapport à janvier 2021, c’est la folie?!?» Vous avez bien lu : 80?%. Répercussion, le long de la chaîne : pour nous, le coût de l’impression de Médor augmentera donc d’un peu moins de 10?%, passant de 1,1 € par exemplaire à 1,2 €. Un détail essentiel.
Pourquoi le papier est-il devenu si rare et si cher?? Les causes sont complexes, mais en disent long sur notre époque. Tout d’abord, le passage au numérique a érodé lentement la consommation de papier d’imprimerie. Là-dessus, au début de la pandémie, les usines de papier ont réduit leur production pour se tourner vers le marché porteur du moment : les cartons d’emballage, dont la demande explosait pour l’e-commerce, lui-même en pleine explosion grâce à… la pandémie. Et qui dit e-commerce dit Amazon.
Or, Amazon met la pression sur les maisons d’édition, aux États-Unis, pour leur acheter des livres à des prix dérisoires, les obligeant à répercuter leurs pertes sur leurs fournisseurs – dont les producteurs de papier.
Vous suivez toujours?? Ça continue…
La fermeture des ports et plusieurs catastrophes climatiques ont achevé de plomber la chaîne d’approvisionnement du papier. Et, quand le coronavirus s’est un peu relâché, la demande est repartie à la hausse.
Un cube avec des feuilles
«?Qu’est-ce qu’un livre si nous ne l’ouvrons pas??, demandait Jorge Luis Borges dans ses Conférences. Un simple cube de papier et de cuir avec des feuilles?; mais, si nous le lisons, il se passe quelque chose d’étrange. Je crois qu’il change à chaque fois.?»
«?Quelque chose d’étrange?», c’est ce que nous cherchons nous aussi à faire – même sans le quart du talent de Borges : tenter de raconter la société, dans ses grands écarts et sa large myopie. Avec l’envie de décoder le réel, le dénoncer quand il nous enchaîne, mais aussi de façonner des imaginaires collectifs aux ciels pas trop bouchés. En alliant le plaisir et la légèreté d’une poilade autour des pêches au thon à la difficulté de raconter le destin des mineurs étrangers non accompagnés, le racisme subi par les Asiatiques, l’extrême droite ultra-catho ou les arcanes boiteux de la cyberdéfense belge.
S’il existe des Jeff Bezos (Amazon) qui rêvent de conquérir tout seuls les astéroïdes, il existe aussi, sous nos humbles latitudes, des éditeurs qui imaginent des circuits de diffusion alternatifs aux gros de l’e-commerce?; des petits médias, comme Médor, qui réfléchissent à une manière de coopérer entre eux pour être lus davantage?; des libraires qui tiennent debout pour nous permettre, à nous, lectrices, lecteurs, d’avoir notre petit «?vaccin social?». Et de se déboucher la vue.Permalink : https://biblio.esnd.be/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=974 [n° ou bulletin]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0009363 MEDO 26 Périodique CDI de l'ESND Périodiques Disponible 27 - Bimestriel - Instagram, une story sans filtre • Revenge porn : La honte pour qui, pour quoi ? • 11 septembre 2001. Deux tours tombent, le monde bascule (Bulletin de Topo)
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Titre : 27 - Bimestriel - Instagram, une story sans filtre • Revenge porn : La honte pour qui, pour quoi ? • 11 septembre 2001. Deux tours tombent, le monde bascule Type de document : texte imprimé Année de publication : 2021 Importance : 146 p. Format : 26 cm Langues : Français (fre) Catégories : 0-Information - Communication Index. décimale : 050 Périodiques - Revues Note de contenu : Sommaire :
- Reportage : La guerre des cœurs
- Ça part en live : La victoire en chantant
- Cash sexe : à qui la faute ?
- Clair et net : c'était mieux avant ?
- La question du moment : la laïcité, ça veut dire quoi ?
- Tête-à-tête : Assa Traoré
- De qui se moque-t-on ? On ne peut plus rien dire
- Les maîtres du jeu : Game lover
- Témoignage : née sous Poutine
- Ça tourne pas rond : pollution nocturne
- Sans cliché : le gang dans la peau
- Mauvaise langue : trafic d'influence
- Capture d'écran : sacré Hubert !
- Flash info : en liberté (surveillée)
- C'est quoi ce travail ? audiodescriptrice
- Tranche de l'art : un travail de titan
- 11 septembre 2001 • épisode 1/6
- Chut... ça n'intéresse personne
Et ce n'est pas tout...Permalink : https://biblio.esnd.be/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=824 [n° ou bulletin]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0008988 TOPO 27 Périodique CDI de l'ESND Périodiques Disponible 27 - Trimestriel - La douleur selon Pfizer • Police : violences banalisées • Tiktok : ados et anorexie • La légende belge de la crypto (Bulletin de Médor)
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Titre : 27 - Trimestriel - La douleur selon Pfizer • Police : violences banalisées • Tiktok : ados et anorexie • La légende belge de la crypto Type de document : texte imprimé Année de publication : 2022 Importance : 127 p. Format : 23 cm Langues : Français (fre) Catégories : 0-Information - Communication Index. décimale : 050 Périodiques - Revues Résumé : Le marronnier a craqué
C’était le 3 mai dernier. La Journée de la liberté de la presse. Et la publication d’un énième marronnier pour journalistes (vous savez, ces événements récurrents que les médias couvrent à tous les coups) : le classement mondial de la liberté de la presse. Sauf que, cette année, le marronnier a craqué…
Un petit crac. Mais un crac quand même. La Belgique a perdu 12 places dans cette liste réalisée par Reporters sans frontières. Si la confiance et les garde-fous législatifs restent bons, «?les journalistes belges subissent des violences de la part de la police et des manifestants lors de rassemblements, ainsi que des menaces en ligne fréquentes ciblant surtout les femmes?». L’Association des journalistes professionnels s’inquiète aussi d’une «?situation préoccupante?» : «?Nous avons accompagné plusieurs plaintes contre X, pour des violences physiques ou des menaces, ou encore du cyberharcèlement.?»
Partout en Europe, le même crac. Le dernier rapport de la plateforme du Conseil de l’Europe pour la sécurité des journalistes le montre : «?Sur la carte de la liberté des médias en Europe, des voyants rouges clignotent. En 2021, 282 alertes concernant 35 pays ont été présentées à la Plateforme, soit une hausse de 41?% en un an.?» Le monde a changé. Il s’est même littéralement transformé depuis le lancement de Médor en décembre 2015, juste avant les attentats de Bruxelles. Ce n’est plus une formule toute faite. Depuis deux ans, on s’est pris plusieurs coups de pelle sur la tête, de la pandémie à la guerre en Ukraine. Ces coups révèlent les fissures d’une société violemment inégalitaire. Qui engendre la brutalité, réduit les espaces de dialogue. Et bouscule les journalistes.
Comment Médor peut-il changer le monde aujourd’hui?? Comment déchiffrer des enjeux complexes, tout en traçant une voie plus solidaire?? Il y a sept ans, Médor s’est lancé avec un élan, une promesse : un média indépendant de tous pouvoirs, axé sur l’investigation et le récit, organisé sur le mode coopératif et qui prend le temps de creuser une route singulière dans le paysage médiatique belge. Quelque part entre le mainstream, l’audace et le punk. Si possible en se marrant.
Aujourd’hui, la coopérative Médor ouvre un chantier avec la SAW-B (Solidarité des Alternatives wallonnes et bruxelloises), un acteur clé de l’économie sociale, qui cherchera à évaluer de manière quantitative l’impact social de notre média. Dans cette vaste réflexion, nous nous tournons vers un corps hétéroclite : vous, les lectrices et lecteurs de Médor. Parce que, depuis l’origine, Médor se fonde aussi sur une approche collaborative. Parmi les outils de ce dialogue : un bon vieux questionnaire, auquel vous pouvez accéder en page 103. Après tout, pourquoi nous achetez-vous?? Qu’attendez-vous de nous, dans une société où les coups de knout, de pelle ou de bambou n’arrêtent plus de pleuvoir?? Comment peut-on promouvoir une plus grande justice sociale, dénoncer des abus de pouvoir(s) et en même temps donner des clés pour dessiner de nouveaux horizons??
Pour avoir de l’impact, il faut du relais. Le même 3 mai, Médor a annoncé sa participation à un nouveau collectif : Kiosque. Un réseau d’entraide créé avec d’autres médias belges qui nous ressemblent. Leurs noms?? Alter Échos, axelle, Imagine, Le Ligueur, Tchak?! et Wilfried. Ensemble, nous convergeons sur ceci : «?À travers une série d’actions communes, notre collectif Kiosque entend peser au sein de la société belge et utiliser sa dynamique solidaire pour faire entendre sa voix auprès du monde politique et dégager des scénarios économiques visant à préserver la liberté et la diversité de la presse. Il souhaite également enrichir le débat démocratique et, par ce biais, renforcer et restaurer la confiance qui lie citoyens, citoyennes et journalisme.?»
Changer le monde, c’est d’abord le comprendre. Dans ce nouveau numéro de Médor, vous pourrez lire différentes approches d’une même réalité : celle de la puissance sourde de l’industrie pharmaceutique. Vous découvrirez comment la police banalise son recours à la force. Mais vous rencontrerez aussi le savant fou qui a influencé l’inventeur du Bitcoin. Et regarderez Bruxelles autrement, en «?cartes?», avant-goût d’une expérience inédite proposée sur notre site web. Repérez-y les espaces verts, croisez ces infos avec des données de santé et mesurez à quel point les inégalités s’auto-alimentent dans les quartiers précarisés.
On vous entend déjà. «?Waw, merci, Médor. Avec vous, reste plus qu’à reprendre un petit médoc, pour oublier…?» (mais pas de Valtran, puisque Pfizer l’a retiré, voir p. 40). D’accord, on lira attentivement ce que vous pensez de nous. Mais, quand un réfugié tourne fou dans notre pays, que l’anorexie guette des ados sur TikTok ou que nos mythiques pelles de plage se font démonter par des concurrents à bas prix, on fait quoi?? On creuse, pour mieux reconstruire le monde.Permalink : https://biblio.esnd.be/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=1013 [n° ou bulletin]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0009516 MEDO 27 Périodique CDI de l'ESND Périodiques Disponible 28 - Bimestriel - Interpol : une police sous influence • Sur les réseaux, les opinions tournent en rond • Mes poils, où je veux, si je veux (Bulletin de Topo)
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Titre : 28 - Bimestriel - Interpol : une police sous influence • Sur les réseaux, les opinions tournent en rond • Mes poils, où je veux, si je veux Type de document : texte imprimé Année de publication : 2021 Importance : 146 p. Format : 26 cm Note générale : L'actu dessinée pour les -de 20 ans (et les autres) Langues : Français (fre) Catégories : 0-Information - Communication Index. décimale : 050 Périodiques - Revues Note de contenu : Sommaire :
- Qui contrôle Interpol, cette police qui traque les criminels au-delà des frontières ?
- Sur les réseaux, les opinions tournent en rond
- Mes poils : où je veux, si je veux
- Rémy Buisine : le journaliste de Brut filme sans filtre
- Horreur ! La musique d'aujourd'hui vient de la discothèque de tes darons
- Pour sauver les betteraves, le gouvernement sacrifie les abeilles
Et ce n'est pas tout...Permalink : https://biblio.esnd.be/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=847 [n° ou bulletin]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0008888 TOPO 28 Périodique CDI de l'ESND Périodiques Disponible 28 - Trimestriel - Les secrets de la Cara Pils • Enquêtes sur les Paris sportifs • Danger en librairie • Flamands en Ardenne • Le Roi au Congo (Bulletin de Médor)
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Titre : 28 - Trimestriel - Les secrets de la Cara Pils • Enquêtes sur les Paris sportifs • Danger en librairie • Flamands en Ardenne • Le Roi au Congo Type de document : texte imprimé Année de publication : 2022 Importance : 127 p. Format : 23 cm Langues : Français (fre) Catégories : 0-Information - Communication Index. décimale : 050 Périodiques - Revues Résumé : La tactique du tactile
Bienvenue dans notre "humanivers"
Une bulle immobilière a éclaté dans le métavers. Les prix de l’immobilier virtuel ont augmenté de 700?% en 2021. Et puis là, clac, la bulle a éclaté. Les spéculateurs se sont lassés des plages de sable pixellisé. Les prix des terrains virtuels se sont effondrés. Est-ce le signe d’un retour sur Terre?? Espérons. Au métavers, nous préférons l’«?humanivers?» et ses décors en dur. Depuis la création de la coopérative Médor, nous tentons de mettre les échanges humains au cœur de notre projet. Nous ne sommes pas technophobes. Mais nous nous asseyons encore tous autour d’une même table pour construire ce magazine et inventer l’avenir.
Une bulle immobilière a éclaté dans le métavers, lit-on, subjugué, au moment de boucler ces pages. Des investisseurs se sont rués pour acheter des emplacements dans les coins les plus en vue de l’univers virtuel que nous concoctent Mark Zuckerberg (Meta, ex-Facebook) & Co. Un jour, espèrent-ils, c’est là que se passeront tous nos échanges et expériences – réunions de famille, balade dans une forêt de bambous, rendez-vous amoureux ou cours de wingfoil – sans que nous devions sortir de chez nous. Les prix de l’immobilier virtuel ont augmenté de 700?% en 2021, selon le magazine Forbes. C’est bien plus qu’à Rendeux, en Ardenne, où des Flamands achètent en masse depuis le confinement.
Et puis là, clac, la bulle a éclaté (dans le métavers, pas à Rendeux). Les spéculateurs se sont lassés des plages de sable pixellisé. Les prix des terrains virtuels se sont effondrés. Est-ce le signe d’un retour sur Terre?? Espérons. Au métavers, nous préférons l’«?humanivers?» et ses décors en dur, même s’ils tremblent.
Depuis la création de la coopérative Médor, nous tentons de mettre les échanges humains au cœur de notre projet. Pour lancer le magazine, il y a huit ans, nous avons sillonné vos cuisines, lors de nos mémorables «?médorwares?» inspirées des réunions Tupperware pour vous convaincre de vous abonner.
Nous ne sommes pas technophobes. Les journalistes de Médor jabotent sur Signal. Les graphistes discutent sur Element. Mais nous nous asseyons encore tous autour d’une même table pour construire ce magazine et inventer l’avenir.
Bouts de ficelle
Et nous avons du neuf à vous proposer. Il s’agit d’une vieille recette qui, bonne mère, ne fonctionnait pas si mal et permettait les échanges d’objets, d’idées ou de fluides corporels, sans recours à une appli ou à une société de livraison : une rubrique «?petites annonces?».
Ce projet, comme à peu près tout ce que nous avons entrepris jusqu’ici, ne sera jamais validé par aucun expert des médias ni recommandé par aucune agence de consultance. En cette période post-Covid, personne ne peut prédire l’avenir de la presse écrite, qui a bien chaud aux fesses. Le Groupe IPM, éditeur de La Libre Belgique et de La Dernière Heure/Les Sports, a, lui, misé sur les paris sportifs, contribuant à la prolifération de fausses librairies.
On a eu recours à un autre type de hasard. Un matin, on tombe sur un papier jaune. Professeur D., marabout, expert (entre autres) en «?problèmes d’entreprise?». «?Résultats garantis en trois jours?». Rendez-vous pris pour parler de l’avenir de Médor. Pourquoi pas??
Ce matin-là, devant le métro où nous devions l’appeler, il nous a tout simplement plantés. Sans doute d’autres entreprises à sauver…
Un autre voyant s’est lui aussi décommandé juste avant de nous rencontrer. Décidément, ce monde physique devient de plus en plus difficile à maîtriser. Nous nous sommes donc rabattus sur un site de voyance. Après un tirage rapide, sur la base de trois chiffres donnés au choix et de la date de naissance d’un fondateur, la sentence de la voyante tombe : les ventes vont repartir vers le haut, à partir de septembre. Juste maintenant?! Comme il restait du crédit, on lui a demandé des détails. Elle prévient : il y aura des hauts mais aussi des bas.
Pour triompher des creux, tutoyer les sommets, venez réfléchir avec nous le 15 octobre à comment faire un Médor qui a de la gueule dans le monde d’après. En gardant nos valeurs mais en osant, s’il le faut, tout faire différemment.Permalink : https://biblio.esnd.be/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=1043 [n° ou bulletin]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0009681 MEDO 28 Périodique CDI de l'ESND Périodiques Disponible 29 - Bimestriel - Noires et flamboyantes • Patriarcat, une organisation toxique • Sur le dos des livreurs (Bulletin de Topo)Permalink29 - Trimestriel - Les largués du numérique • Tinder : l'amour infini • Enseignement spécialisé : aller sans retour • Liège en 2040 : le plein de camions (Bulletin de Médor)Permalink30 - Bimestriel - Liban, la vie l'emporte • USA : les jeunes flinguent les armes • Cardi B, femme de pouvoir (Bulletin de Topo)Permalink30 - Trimestriel - LA FN aux USA : armes belges au pays des tueries • Amougies 1969 : le Woodstock wallon • Crèches : inégalités chez les bébés • Vesdre : quelle vallée pour demain ? (Bulletin de Médor)Permalink31 - Bimestriel - Loi Climat : la Terre mérite mieux • LIL NAS X • Sur la trace des tueurs de séries (Bulletin de Topo)Permalink31 - Trimestriel - Franquin et le lac aux requins • Énergie, courant en circuit court • Violences chez les scouts (Bulletin de Médor)Permalink32 - Bimestriel - Le caca peut nous sortir de la merde • A la télé, du clash pour du buzz • Léna Situations, reine des coeurs (Bulletin de Topo)Permalink32 - Trimestriel - Abus chez les gymnastes • Amazonie : balance ton or • Jamais sans ma bagnole (Bulletin de Médor)Permalink33 - Bimestriel - Ne pas voter est un droit • iPhone, Instagram, Twitch, faut-il vivre sans ? • Le tatouage, ils l'ont dans la peau (Bulletin de Topo)Permalink33 - Trimestriel - Même pas mort ! (Bulletin de Médor)Permalink34 - Bimestriel - Info ou intox, comment s'y retrouver ? • Musique, les clés du succès • Air Force, Yeezy, le collector vaut de l'or (Bulletin de Topo)Permalink34 - Trimestriel - SNCB, Infrabel, STIB... L'argent déraille (Bulletin de Médor)Permalink35 - Bimestriel - C'est quoi, être riche ? • Des gameurs dopés pour gagner • Rap : Diam's brille toujours (Bulletin de Topo)Permalink36 - Bimestriel - Gorilles : des géants fragiles • Jusqu'au bout des raves • La mode étouffe le monde (Bulletin de Topo)Permalink365 jours avec Jamy / Jamy GourmaudPermalink37 - Bimestriel - Arnaques sur Internet • Peut-on vivre du stream ? • Viande : la pub nous gave (Bulletin de Topo)Permalink38 - Bimestriel - La vérité derrière les filtres • Peut-on vivre sans plastique ? • Le Qatar braque le foot (Bulletin de Topo)Permalink39 - Bimestriel - Tiktok impose sa loi • Menace sur les océans • Les ultras, fans de foot (Bulletin de Topo)Permalink4 - Mensuel - Les Belges et l'an 2000 (Bulletin de Actualquarto)Permalink40 - Bimestriel - Peut-on faire confiance à Wikipédia ? • Au Darfour, la première guerre climatique • Jeux vidéo : l'art de vendre du neuf avec du vieux (Bulletin de Topo)Permalink