Catégories
> 0-Information - Communication
0-Information - Communication |
Affiner la recherche
235 - Mensuel - Avec les princesses du Rajasthan (Bulletin de Geo ado)
[n° ou bulletin]
Titre : 235 - Mensuel - Avec les princesses du Rajasthan Type de document : texte imprimé Année de publication : 2022 Importance : 67 p. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : 0-Information - Communication Index. décimale : 050 Périodiques - Revues Note de contenu : Sommaire :
- 8 milliards d'humains sur Terre : c'est trop, ou pas ?
- Inde : les princesses du Rajasthan
- Thomas Coville : "En mer, je suis à ma juste place, sur Terre je suis un albatros"
- "A 12 ans, je suis danseuse professionnelle de salsa"Permalink : https://biblio.esnd.be/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=1058 [n° ou bulletin]Réservation
Réserver ce documentExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0009608 GEO 235 Périodique CDI de l'ESND Périodiques Disponible 236 - Mensuel - Les Evenk, le peuple du froid (Bulletin de Geo ado)
[n° ou bulletin]
Titre : 236 - Mensuel - Les Evenk, le peuple du froid Type de document : texte imprimé Année de publication : 2022 Importance : 67 p. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : 0-Information - Communication Index. décimale : 050 Périodiques - Revues Note de contenu : Sommaire :
- Nous, les grands singes
- Les Evenk, le peuple du froid
- Et toi, tu fais quoi sur l'eau ?
- Dorine Bourneton : "Je ne subis pas mon handicap, je vis avec... euh non, je vole avec !"
- James Cameron : "Si je fais du cinéma, c'est pour explorer d'autres dimensions"Permalink : https://biblio.esnd.be/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=1060 [n° ou bulletin]Réservation
Réserver ce documentExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0009601 GEO 236 Périodique CDI de l'ESND Périodiques Disponible 24 - Trimestriel - Belgique : Fabrique à plastique • Trains : Crach qu'on cache • Dans ma rue : Deal de jeunesse • Science : Rêves d'eau sur Mars (Bulletin de Médor)
[n° ou bulletin]
Titre : 24 - Trimestriel - Belgique : Fabrique à plastique • Trains : Crach qu'on cache • Dans ma rue : Deal de jeunesse • Science : Rêves d'eau sur Mars Type de document : texte imprimé Année de publication : 2021 Importance : 127 p. Format : 23 cm Langues : Français (fre) Catégories : 0-Information - Communication Index. décimale : 050 Périodiques - Revues Résumé : Vallée de la Vesdre, le dimanche 18 juillet, quelques jours après la crue mortelle des eaux wallonnes. Des kilomètres de vies dévastées s’entassent en bord de route. L’ampleur du drame surprend, d’un coin pauvre de Liège à une ville d’eaux coquette. Des quartiers entiers restent plongés dans le noir absolu. Pepinster est plus lugubre encore. Nous apercevons un feu de camp et, autour, des gens armés de gourdins de bois. Ils veillent depuis trois jours pour dissuader les pilleurs. Ce qu’ils ont pu sauver se trouve aux étages. Pour «?sécuriser les lieux?», des policiers ont établi un point de contrôle un kilomètre plus haut. Ça ou rien… Les naufragés ne doivent rien espérer non plus de la Protection civile, démantelée ces dernières années. Même la Croix-Rouge fait faux bond en bout de vallée. Heureusement qu’il y a la solidarité, venue de partout. Ces gourdins, ces gens qui s’épient : aux prochaines catastrophes climatiques, il va falloir se débrouiller seuls??
Le 21 juillet à Bruxelles, capitale de l’Europe. Depuis des jours, une poignée de citoyens cherchent à alerter les médias en se couchant sur le pavé frais de la place du Béguinage, comme s’ils étaient mourants. Le parallèle est saisissant. Il a été capté par le photographe John Vink, qui suit le bras de fer : plus de 400 de nos semblables font la grève de la faim parce que le gouvernement refuse de régulariser leur statut. On les appelle des «?sans-papiers?». Pour faire le ménage chez nous ou jouer la petite main dans le bâtiment, on ne leur demande aucun papier.
Le sociologue suisse Jean Ziegler et d’autres personnalités écrivent ceci dans Le Soir du 15 juillet : «?La Belgique [et l’Union européenne] produit l’irrégularité des migrants. Il y a 150?000 personnes qui vivent et travaillent en Belgique sans papiers […] Pour lutter contre l’extrême droite, on ne coopte pas son programme. On conteste ses idées dans le discours comme dans les actes.?» Observateur des Nations unies sur plusieurs points chauds de la planète, Jean Ziegler a publié, il y a deux ans, Lesbos, la honte de l’Europe. Une claque. Notre sens moral, celui de nos gouvernants y est interpellé. Personne ne réagit à ce qui se passe dans ces camps de réfugiés, dressés aux bords de la Méditerranée, terrain de jeu de nos vacances. Là, des femmes, des enfants vivent comme des chiens, sans eau courante pour se laver, sans toilettes sécurisées contre les viols.
Les guerres pour le contrôle du pétrole, le terrorisme, la famine, les dérèglements climatiques vont augmenter les migrations Sud-Nord. À part des frontières fermées, des murs érigés, avons-nous un modèle de société à proposer??
Maintenant que le climat se déchaîne aussi chez nous, on pourrait espérer le silence des climato-sceptiques. Ce n’est pas gagné. Dans une opacité entretenue, les gouvernants flamands ont accepté un projet totalement anachronique au cœur d’Anvers. La firme britannique Ineos entend y construire une immense usine à plastique, alimentée par un pipeline de gaz de schiste venu d’Amérique. Il s’agirait du plus grand investissement dans l’industrie chimique européenne depuis une génération. Rien que ça. Des signaux d’alerte annoncent pourtant une augmentation des émissions de CO2 et un afflux de pellets de plastique dans les eaux du port. Exactement ce qu’il faut éviter.
Qu’il s’agisse du défi climatique, des enjeux migratoires, du financement des hôpitaux ou du risque accru d’accidents ferroviaires, la Belgique conserve ce défaut majeur : elle se montre incapable de répondre aux alertes, d’anticiper les crises.
Il y a au minimum deux manières d’agir.
1) Entretenir des infrastructures pour contrecarrer les difficultés au moment où elles surviennent. En cas de circonstances exceptionnelles, comme une pandémie ou des inondations dantesques, c’est bien sûr difficile. Il faudrait déployer des milliers de lits d’hôpitaux ou monter des digues. Ces précautions représenteraient des coûts énormes pour absorber des catastrophes rares.
2) L’autre solution consiste à prévenir. Autrement dit, mieux identifier en amont les crises ou catastrophes, pour en réduire les effets délétères. Les investissements sont, là, bien moins lourds. Une veille mondiale sur la circulation d’une épidémie naissante, des mécanismes rapides et efficaces d’alerte concernant les phénomènes météo extrêmes. Ces solutions existent déjà. Elles ont failli.
«?C’est le point faible de nos démocraties : on vote tous les quatre, cinq, six ans et un décideur politique n’a qu’une vision sur cette durée-là?», regrette la géologue Vinciane Debaille. Cette chercheuse inspecte la planète Mars pour mieux comprendre la Terre. Il y a du boulot.Permalink : https://biblio.esnd.be/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=904 [n° ou bulletin]Réservation
Réserver ce documentExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0009208 MEDO 24 Périodique CDI de l'ESND Périodiques Disponible 25 - Trimestriel - Facebook : l'argent public du clic • Nucléaire : la bombe politique • Endométriose : la maladie oubliée • Sport extrême : deux marathons par jour (Bulletin de Médor)
[n° ou bulletin]
Titre : 25 - Trimestriel - Facebook : l'argent public du clic • Nucléaire : la bombe politique • Endométriose : la maladie oubliée • Sport extrême : deux marathons par jour Type de document : texte imprimé Année de publication : 2021 Importance : 127 p. Format : 23 cm Langues : Français (fre) Catégories : 0-Information - Communication Index. décimale : 050 Périodiques - Revues Résumé : L’éternité et un like
Nous passons 1 heure 45 par jour sur les réseaux sociaux, à lire et à regarder des publications qui disparaissent instantanément. La durée de vie d’un post Facebook tourne autour des six heures. Deux jours si on le dope à coups de publicité, ce que Médor a décidé de ne jamais faire. Un tweet, lui, s’éteindrait au bout de 18 minutes. Depuis début 2021, les partis politiques belges ont dépensé plus de 4 millions d’euros, extirpés de leurs dotations publiques (donc de l’argent du contribuable), pour sponsoriser des posts Facebook. Des millions pour quelques secondes de notre attention.
Au sommet de l’État, c’est l’éternité qu’on se prend dans la figure, et les pieds dans le plus délicat des dossiers : le nucléaire. Les déchets radioactifs vivront entre quelques centaines et un million d’années, selon l’ONDRAF, l’organisme public chargé de leur gestion. Même si ces déchets sont en partie retraités, ils symbolisent l’enjeu que le nucléaire porte en lui depuis le début.
Petits chats et grandes échéances.
En 1946, le physicien américain Enrico Fermi, qui a produit la première réaction nucléaire en chaîne, déclarait «?qu’il n’était pas clair que le public accepterait une source d’énergie qui produit autant de radioactivité?». Le physicien Alvin Weinberg, qui participa au projet Manhattan (accouchant des deux bombes atomiques), mais aussi à la naissance du nucléaire civil, estima qu’adopter l’énergie nucléaire était un «?pacte faustien?». D’un côté, il y avait cette énergie quasiment illimitée. De l’autre, les risques posés par les centrales et les déchets, dont la gestion exigeait «?à la fois une vigilance et une longévité de nos institutions sociales auxquelles nous ne sommes pas habitués?». Le «?pharmakon?» atomique. En grec ancien, à la fois un remède et un poison.
Dans ce numéro, vous lirez du Facebook et du nucléaire. De l’instantanéité et de l’éternité. Les petits chats et les grandes échéances. Absurde, non?? En Belgique, l’éternité se gère dans l’éphémère. Misère du politique…
Nos dirigeants sont de plus en plus des communicants. Soyons de bon compte. Leur public et les médias partagent la responsabilité du futile en traquant la petite phrase, assoiffés de buzz, addicts à l’anecdotique. Tant d’énergie perdue. Collectivement incapables, le nez dans le guidon, de voir l’horizon. De penser le long terme. Que ce soit en matière d’environnement (l’«?urgence climatique?», quel oxymore devenu lieu commun?!), de pensions ou d’énergie.
Comment est-ce possible??
Sur le dossier de la sortie du nucléaire, l’avenir des générations futures a été gâché par des visions électoralistes à court terme. Qu’a-t-on anticipé depuis 2003?? Comment est-il possible qu’en 20 ans nos gouvernants n’aient pu penser et préparer la transition?? Comment est-il envisageable que cette dernière tienne à un fil, à un rapport d’approvisionnement à peine livré, déjà remis en question??
Il est à craindre que notre destin se négocie dans l’immédiateté, qu’un débat aussi capital que la sécurisation de notre avenir énergétique se joue, lors des élections fédérales de 2024, sur les réseaux sociaux. MR et N-VA défendront la reprise du dossier nucléaire. Et, dans ce match permanent entre opposition et majorité, aucun consensus national d’intérêt public, aucun G1000 durable ne fédérera les visions. Au prochain accord de majorité, on changera à nouveau les horizons. On like, vraiment??
Un aigri, Stiegler??
Nous sommes gavés en permanence de slogans par réseaux sociaux interposés, des élus organisent leur parole au Parlement en anticipant une «?minute TikTok?». Le philosophe des techniques Bernard Stiegler, décédé l’année dernière, martelait que Facebook était un modèle «?toxique et avilissant?». Un outil qui, sous couvert de permettre la liberté d’expression, pouvait rompre les «?modes de vie communs?» : la famille, l’éducation et, désormais, le débat démocratique (la prise du Congrès américain par des extrémistes en est l’exemple le plus célèbre). Un aigri, Stiegler?? Comme nous?? Pour lui, le problème n’est pas la tuyauterie (ce qu’est internet, au fond), mais ce qu’on en fait et les rôles qu’on accepte de nous faire jouer. Cet incroyable moyen de diffusion et de partage des connaissances se retrouve désormais sous la coupe des intérêts privés, avec l’appui des gouvernements.
En nous enfermant dans Facebook, nous acceptons une prison dorée, le monde politique en premier. La liberté d’expression y est facilitée, normée, cadrée, dictée, mais quelle pensée y crée-t-on?? Pour l’essentiel, les réseaux sociaux sont une fabrique du temps perdu. Il est l’heure de les domestiquer. Renoncer à y gaspiller de l’argent. Gérer les vraies urgences et prévoir notre éternité.Permalink : https://biblio.esnd.be/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=947 [n° ou bulletin]Réservation
Réserver ce documentExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0009465 MEDO 25 Périodique CDI de l'ESND Périodiques Disponible 26 - Bimestriel - Amérindiens, l'autre voix de l'Amérique • Vous vouliez l'effacer, Internet l'a gardé • L'alcool racole dès l'école (Bulletin de Topo)
[n° ou bulletin]
Titre : 26 - Bimestriel - Amérindiens, l'autre voix de l'Amérique • Vous vouliez l'effacer, Internet l'a gardé • L'alcool racole dès l'école Type de document : texte imprimé Année de publication : 2020 Importance : 146 p. Format : 26 cm Langues : Français (fre) Catégories : 0-Information - Communication Index. décimale : 050 Périodiques - Revues Note de contenu : - Amérindiens, l’autre voix de l’Amérique. Par Géraldine Ruiz et Vincent Bergier.
- L’alcool racole dès l’école. Une enquête d'Éric Coder et Marion Mousse.
- Savez-vous qu’en France, la plus grande majorité des sapins de Noël sont originaires des forêts de Géorgie ? Clémentine Méténier et Lisa Blumen posent la question du moment : « D’où viennent nos sapins de Noël ?»
- Vous vouliez l’effacer ? Internet l’a gardé. Votre rendez-vous « Clair et net par Gurvan Kristanadjaja et Darshan Fernando.
- « Say so », 15 secondes sur TikTok, plus de 200 millions de vues sur YouTube. La chanteuse Dojo Cat, décryptée par Vincent Brunner et Sara Quod au dessin.
- En direct du Moyen Âge, Dante raconte son voyage en Enfer. Frissons garantis grâce à Patrique !
- Quand les consoles se font la guerre, ce n’est pas un jeu ! Par Pierre Coribnais et Akeussel.
- Navalny empoisonne Poutine et réciproquement. Bienvenue dans le tête à tête de TOPO !
- La capote pour les nuls (pas vous, les autres !)
Et ce n'est pas tout...Permalink : https://biblio.esnd.be/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=802 [n° ou bulletin]Réservation
Réserver ce documentExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0008736 TOPO 26 Périodique CDI de l'ESND Périodiques Disponible 26 - Trimestriel - Cyberattaques : l'état piraté • Pêches au thon : stop ou encore ? • Des ultra-cathos chez les antivax • Racisme anti-asiatique : l'autre pandémie (Bulletin de Médor)Permalink27 - Bimestriel - Instagram, une story sans filtre • Revenge porn : La honte pour qui, pour quoi ? • 11 septembre 2001. Deux tours tombent, le monde bascule (Bulletin de Topo)Permalink27 - Trimestriel - La douleur selon Pfizer • Police : violences banalisées • Tiktok : ados et anorexie • La légende belge de la crypto (Bulletin de Médor)Permalink28 - Bimestriel - Interpol : une police sous influence • Sur les réseaux, les opinions tournent en rond • Mes poils, où je veux, si je veux (Bulletin de Topo)Permalink28 - Trimestriel - Les secrets de la Cara Pils • Enquêtes sur les Paris sportifs • Danger en librairie • Flamands en Ardenne • Le Roi au Congo (Bulletin de Médor)Permalink29 - Bimestriel - Noires et flamboyantes • Patriarcat, une organisation toxique • Sur le dos des livreurs (Bulletin de Topo)Permalink29 - Trimestriel - Les largués du numérique • Tinder : l'amour infini • Enseignement spécialisé : aller sans retour • Liège en 2040 : le plein de camions (Bulletin de Médor)Permalink30 - Bimestriel - Liban, la vie l'emporte • USA : les jeunes flinguent les armes • Cardi B, femme de pouvoir (Bulletin de Topo)Permalink30 - Trimestriel - LA FN aux USA : armes belges au pays des tueries • Amougies 1969 : le Woodstock wallon • Crèches : inégalités chez les bébés • Vesdre : quelle vallée pour demain ? (Bulletin de Médor)Permalink31 - Bimestriel - Loi Climat : la Terre mérite mieux • LIL NAS X • Sur la trace des tueurs de séries (Bulletin de Topo)Permalink